Chapitre 217 : Wei Liao et Xu Ning
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Auteur : The Glass Pearl
Traductrice : Moonkissed
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« Tout dépend de toi maintenant, Wei Liao », dit Xu Ning, se rappelant qu’il aurait besoin de l’aide de Wei Liao plus tard, et s’avançant pour tapoter l’épaule de Wei Liao.
Wei Liao avait l’air d’être submergé par l’action, allant joyeusement à la porte et sortant un fil, comme s’il faisait un tour de passe-passe. En quelques mouvements, il réussit à ouvrir la porte.
Le visage de Xu Ning devint sérieux et le groupe entra dans la maison en silence. Il faisait complètement noir, mais ce n’était pas un défi pour un utilisateur de capacités comme Xu Ning.
L’image était légèrement floue, mais il pouvait tout voir. Il fit un geste de la main et Wei Liao sortit une bougie de son sac. Xu Ning bougea ensuite la main et une petite flamme apparut, allumant la bougie.
Alors qu’ils s’apprêtaient à faire un geste, ils entendirent soudain un bruissement.
Les sourcils épais de Xu Ning se froncèrent, se demandant : ‘Que se passe-t-il ? Il doit y avoir quelqu’un dans le salon !’
Xu Ning jeta un regard à Wei Liao, qui sortit un hachoir et suivit Xu Ning en direction du bruit.
Lorsqu’ils s’approchèrent, ils virent une petite personne blottie dans un coin. Elle semblait avoir vu la lumière des bougies, et son petit corps tremblait.
« Qui es-tu et pourquoi es-tu dans ma maison ? » Xu Ning s’interrogea, prêt à former une boule de feu avec sa main à tout moment.
« Ah, ne me frappez pas, ne me frappez pas ! » dit la petite personne d’une voix claire et agréable.
La main de Xu Ning bougea légèrement, et il jeta un regard à Wei Liao. Après avoir reçu le signal de Xu Ning, Wei Liao s’avança et s’accroupit, puis dit doucement : « N’aies pas peur, personne ne te fera de mal. Nous sommes des gens bien. »
En entendant cela, la bouche de Qin Yi tressaillit. ‘Le chef d’un groupe d’assassins se qualifie de bon ? Pense-t-il vraiment que je suis une jeune fille ignorante ?’
Qin Yi avait cette pensée en tête, mais lorsqu’elle leva son petit visage, elle avait l’air aussi pure et innocente que d’habitude. Elle regarda l’adolescent devant elle, pencha la tête et demanda docilement : « Grand frère, c’est vrai ? Vous n’allez pas intimider Jiaojiao ? »
Quand Xu Ning et Wei Liao virent ce visage, ils ne purent s’empêcher de sursauter. Le visage de la jeune fille était couvert de terre, mais cela ne pouvait pas cacher ses beaux traits, ces yeux de phénix stupéfiants semblant être les plus beaux joyaux de la terre.
Xu Ning déglutit et jaugea la silhouette en sablier de Qin Yi d’un air narquois. Cette jeune femme était tout simplement trop belle. S’ils l’offraient au boss, il pourrait certainement monter en grade.
« Hé, petite fille, bien sûr que c’est vrai ! Nous sommes des gens bien, pourquoi te maltraiterions-nous ? Tu es Jiaojiao, n’est-ce pas ? Pourquoi es-tu ici ? » Xu Ning fit de son mieux pour afficher un sourire amical, sans savoir à quel point il avait l’air sinistre.
Qin Yi hésita un instant et jeta un coup d’œil attentif à Xu Ning, ses yeux larmoyants comme ceux d’un petit cerf – adorables et qui font qu’on a pitié d’elle.
La jeune femme tourna ses doigts avec inquiétude, ses yeux larmoyants regardant Xu Ning une fois de plus avant de dire doucement, « Je m’appelle Jiaojiao, je voulais aller à la Ville Z avec ma mère pour chercher mon père, mais un groupe de personnes m’a enlevée. Après cela, je suis venue ici avec eux. J’ai beaucoup mangé et ils ont détesté ça, alors ils m’ont laissé ici. »
Xu Ning fronça les sourcils et sa voix devint plus forte lorsqu’il demanda : « Tu dis qu’un groupe de personnes était ici avant ? Ils sont déjà partis ? »
Qin Yi fut effrayée par la voix de Xu Ning et se recroquevilla immédiatement, le dos tourné vers Xu Ning.
Lorsque Wei Liao vit cela, son cœur se serra et il grommela légèrement : « Grand frère Ning, tu es trop bruyant ! Tu l’as effrayée. »
Xu Ning roula des yeux à Wei Liao et se pencha pour lui chuchoter à l’oreille, « Tu ferais mieux de ne pas être tenté. Cette fille sera dédiée au boss, alors je te suggère d’abandonner l’idée que tu avais. Voler une femme au boss, c’est courir à la mort ? »
