Rebirth Of The Apocalypse Queen: On Your Knees, Young Emperor! Chapitre 116

Interrogation

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Auteur : The Glass Pearl

Traductrice : Moonkissed

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Mais Wang San était quelqu’un qui avait fait l’expérience de la vie. Il serra les dents en regardant Qin Yi et les autres, puis menaça sévèrement : « Vous feriez mieux de ne pas nous toucher. Je vous ferai tous payer un lourd tribut pour cela. »

La main de Qin Yi qui caressait Xiao Lan s’arrêta de bouger en entendant les paroles de Wang San et un sourire moqueur apparut sur son visage.

Lin Qing souriait toujours, mais dans ses yeux séduisants de renard se cachait une lueur dangereuse. « Wow, nous menacer, hein ? J’ai tellement peur, hein. »

Après avoir dit cela, l’expression de Lin Qing changea et il attrapa Wang San par le cou. Le sourire sur le visage de Lin Qing disparut, utilisant de plus en plus de force sur ses mains.

Wang San avait l’impression d’être sur le point de mourir, et il ne pouvait plus respirer. C’est alors qu’il réalisa que personne ne le sauverait et que ce groupe de personnes pouvait le tuer.

Chacun se souciait de sa propre vie et lui, Wang San, aimait encore plus sa propre vie. Finalement, il ouvrit la bouche et balbutia : « Ne, ne me tue pas, je, je vais parler, je vais tout dire. »

Yun Huan jeta un coup d’œil significatif à Lin Qing et ce dernier retroussa les lèvres en relâchant sa prise.

Wang San tomba au sol, haletant, et ses yeux étaient remplis de peur. Ce groupe de personnes était légèrement plus âgé que des enfants mais était plus impitoyable que son boss.

Yun Huan se leva. Ses jambes étaient enveloppées dans un pantalon noir et semblaient très longues. Il mit négligemment ses mains dans ses poches et parut très élégant, mais cela fit trembler Wang San.

Cet homme était si froid qu’il en était terrifiant.

Yun Huan regarda Wang San et se tint là, nonchalamment, mais il avait un air dominateur autour de lui, comme un empereur.

« Parle, quelles sont vos motivations ? » Yun Huan jeta un coup d’œil à Wang San, ce qui lui serra le cœur et il n’osa pas mentir.

« Je, nous nous sommes échappés de la prison de la ville S. Quand l’apocalypse a commencé, la prison était en plein chaos, alors le boss, moi et plusieurs frères nous sommes échappés. Ensuite, nous sommes restés dans ce village et nous nous sommes servis des villageois pour droguer les gens comme vous qui venaient ici pour chercher un abri temporaire. Ensuite, ensuite… »

Wang San déglutit. Il ne pouvait pas prononcer cette phrase à voix haute. Il avait peur que ce groupe de personnes le tue s’il la prononçait.

Qin Yi ricana. Elle regarda Wang San. « Alors vous tuez les gens et saisissez leurs provisions, c’est ça ? »

La voix du jeune homme était claire et agréable à l’oreille. Il venait peut-être de se réveiller, et sa voix était donc un peu rauque, ce qui lui donnait encore plus de charme.

Les cheveux de Wang San se hérissèrent lorsque Qin Yi le fixa. Il avait l’impression que son pagne était complètement ouvert devant ce jeune homme et que toutes ses pensées étaient exposées.

Il ne dit rien, mais Qin Yi et les autres l’avaient déjà deviné.

Chu Mohe se couvrit la bouche pour laisser échapper un gros bâillement. Il regarda Xiao Lan qui était dans les bras de Qin Yi et dit, « Où est ta base ? Parle, sinon je te tue. »

Chu Mohe avait un complexe de peluches [1] et il adorait les petites choses poilues. Lorsqu’il vit Xiao Lan dans les bras de Qin Yi, ses yeux s’illuminèrent.

Mais cette petite chose était très timide avec les étrangers. Elle ne voulait personne d’autre que Qin Yi. Probablement parce que Lin Qing et Yun Huan avaient jeté une ombre psychologique très profonde.

Chu Mohe avait très envie de serrer ce petit être dans ses bras, mais comme il avait un complexe de peluche, il était très patient avec ce petit être et ne voulait pas le forcer. Il décida donc de se rapprocher de ce petit être afin de pouvoir le prendre dans ses bras un jour.

La voix de Chu Mohe était très douce, mais elle fit trembler Wang San. Il savait que ce Chu Mohe était sérieux.

Wang Sat se sentait vraiment malheureux. S’il l’avait su plus tôt, il ne serait pas venu aujourd’hui et serait resté de l’autre côté. Il n’avait vraiment pas eu de chance de rencontrer ces quelques machines à tuer.

[1] : Comme le complexe de la sœur, mais pour les peluches.


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