Rebirth Of The Apocalypse Queen: On Your Knees, Young Emperor! Chapitre 107

En conflit

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Auteur : The Glass Pearl

Traductrice : Moonkissed

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Qin Yi et les autres marchèrent pendant quelques minutes et le bruit devenait de plus en plus fort.

Lorsque Qin Yi et les autres arrivèrent, les deux groupes étaient déjà en train de se disputer.

Wu Yue regarda les villageois qui leur bloquaient le passage et fut extrêmement contrarié. Il leur avait déjà dit que la ville Z avait une base et que ces survivants pouvaient s’y réfugier. Qui aurait cru que ce groupe de personnes serait si déraisonnable et insisterait pour que Wu Yue et les autres les escortent jusqu’ici ?

En tant que troisième commandant de la compagnie Hong Fei, Wu Yue ne voulait vraiment pas être coincé ici avec ce groupe de personnes. Il devait encore chercher des provisions et il y avait tant de gens à la base qui attendaient qu’ils ramènent de la nourriture. Comment pouvait-il perdre une minute ou une seconde ici ?

Wu Yue fronça les sourcils, regarda les villageois avec mécontentement, et il y avait une pointe évidente d’impatience dans son ton. « Bougez. J’ai dit tout ce que j’avais à dire. Vous pouvez aller à la ville Z. Nous devons encore chercher des provisions. »

Au moment où Wu Yue dit ça, une femme d’âge moyen portant un grand manteau rouge s’avança à grands pas. Elle plaça ses bras sur ses hanches et gronda : « Vous êtes des soldats sans conscience. Nous, les gens du peuple, vous avons soutenus en temps normal et maintenant qu’il y a ces monstres, vous nous laissez tomber. Tsk, je vais vous empêcher d’aller plus loin. Vous êtes vraiment une bande d’ingrats. »

Plus la femme d’âge moyen criait, plus elle avait l’impression d’être dans le vrai. Elle se tenait là, la poitrine gonflée.

À côté d’elle, il y avait un groupe de personnes qui avaient la même attitude qu’elle. Bien qu’ils ne disaient rien, ils restaient là sans bouger et ne permettaient pas à Wu Yue et à son équipe de bouger.

Lorsqu’un petit soldat derrière Wu Yue entendit cette femme parler ainsi de son commandant de compagnie, il fut très mécontent. Son commandant de compagnie était la personne la plus étonnante et la plus respectable qui soit.

Le visage du petit soldat rougit et regarda la femme d’âge moyen avec mécontentement. Il dit : « Ne dites pas cela de nous, les soldats. Vous ne savez rien du tout. Si vous continuez à parler ainsi, je… »

Kong Cui jeta un regard dédaigneux au petit soldat et se moqua : « Quoi ? Vous ne voulez pas nous sauver et vous ne me permettez pas d’en parler ? Vous avez pris notre argent durement gagné et maintenant vous voulez même nous intimider, hein ? »

Après avoir parlé, Kong Cui s’assit sur le sol avec un plop et cria : « C’est tellement injuste. Vite, venez voir. Les soldats veulent me frapper, les soldats malmènent les gens ordinaires ! Comment allons-nous vivre ainsi ? »

Kong Cui se mit à pleurer bruyamment. Ses larmes continuaient de couler et elle semblait très pitoyable. Les villageois derrière Kong Cui ne firent pas un bruit et c’était la première fois que le chef du village trouvait Kong Cui un peu utile.

Voyant que Kong Cui restait au sol et refusait de se lever, le cou du petit soldat devint rouge et les veines vertes de son visage se creusèrent.

L’adolescent adorait les soldats depuis qu’il était tout petit. C’est pour cette raison qu’il était entré tôt dans l’armée et qu’il était devenu un petit soldat. Il s’appelait Qian Duowen, et en ce moment, il se sentit soudain un peu fatigué.

C’est son commandant de compagnie qu’il adorait le plus. Ce dernier avait beaucoup apporté au pays et au peuple. Même maintenant, pendant l’apocalypse, la base venait juste d’être construite et le commandant de la compagnie était déjà si impatient de les faire sortir pour chercher des provisions et secourir d’autres survivants.

Au début, le commandant de la compagnie avait accepté que les survivants les suivent, pensant qu’après avoir collecté des vivres, ils pourraient retourner ensemble à la base.

Cependant, ces survivants étaient avides ; ils avaient mangé la nourriture que les soldats avaient péniblement rassemblée et s’étaient encore plaints du goût. Ils ne se doutaient pas que ces soldats ne pouvaient manger que des nouilles instantanées tous les jours.

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