Trash of Count’s Family Chapitre 231

Mais c’est plus confortable ici ? (5)

***

Auteur : Yoo Ryeo Han
Traductrice : Moonkissed

***

Cale se mit immédiatement en mouvement afin de poursuivre ce bon départ.
Il sortit de la petite cour devant l’entrée de l’auberge. L’une des grands-mères du quartier regarda Cale et la vieille auberge avec curiosité.

« Vous avez acheté cette auberge ?
– Oui, grand-mère. »

La vieille dame regarda le beau jeune homme roux avec satisfaction et inquiétude.

« C’est un bon emplacement, mais il est très vieux. Oh, et vous n’avez pas l’air d’avoir entendu l’histoire de cet endroit. Le propriétaire dirigeait un cercle de jeu jusqu’à ce qu’il s’enfuie avec son argent.
– J’en ai entendu parler. »

Le jeune homme hésita un instant avant de continuer à parler avec une expression vigoureuse.

« Mais ça ne devrait pas marcher si je travaille dur ? J’ai beaucoup de gens qui travaillent avec moi. Nous avons tous l’intention de travailler dur comme si nous vivions une nouvelle vie, alors s’il vous plaît, prenez bien soin de nous.
– Aigoo, vous parlez si bien ! »

L’attitude positive du jeune homme fit sourire la vieille femme qui hocha la tête.

« Bien sûr. Nous, les nouveaux voisins, devons veiller les uns sur les autres. Mon mari tient la boulangerie dans la ruelle voisine. Venez chez nous si vous avez besoin de pain.
– Oui madame, merci beaucoup. »

La vieille femme reçut le “merci” du jeune homme tenant deux chatons et se dirigea vers la ruelle où se trouvait sa boulangerie.

‘Un jeune homme sympathique a emménagé.’

C’était une bonne nouvelle pour la vieille dame.
Cale releva finalement la tête une fois que la vieille femme ne fut plus visible.
La porte s’ouvrit légèrement à ce moment-là et quelqu’un commença à parler.

« L’objectif de notre auberge de l’Espoir et de l’Aventure est de fournir des repas chauds et une chambre relaxante à un prix abordable pour tous les voyageurs. C’est compris ?
– Nous comprenons !
– Oui, monsieur ! »

Quelqu’un demanda et d’autres répondirent avec énergie.

« Et notre auberge de l’Espoir et de l’Aventure cherche également à poignarder dans le dos les méchants, tandis que nos aventures consisteront à prendre leurs affaires. C’est compris ?
– …Nous nous en souviendrons au plus profond de nos os !
– Oui monsieur, oui monsieur ! Quoi que vous disiez, oui monsieur ! »

Cale commença à froncer les sourcils. Le chef des bandits qui sortait de la porte tressaillit et commença à trembler.

« Dis à tout le monde de travailler en silence. Les rumeurs se répandent avant que les rats et les oiseaux ne soient au courant. Tu n’es pas au courant ? (Ndt : Un proverbe coréen dit que les oiseaux écoutent les paroles du jour et les rats celles de la nuit. L’équivalent français de ce proverbe serait donc “les rumeurs se répandent comme une traînée de poudre”. )
– Oh, bien sûr ! »

Le chef des bandits sortit rapidement de la porte et la referma.
Les bruits des gens à l’intérieur ne pouvaient plus être entendus une fois qu’il avait fermé la porte.

« Hé, nettoie bien la fenêtre !
– Assure-toi qu’il n’y a pas un seul grain de poussière ! Chaque grain est un gant blanc ! »

Les voix énergiques des bandits disparurent rapidement.
Les bandits furent tourmentés pendant trois jours et trois nuits avant d’arriver à la ville Leeb-An. Cale choisit alors cinq bandits qui semblaient utiles et les amena avec lui.

Ironiquement, il s’agissait des mêmes cinq bandits qui s’étaient dirigés vers le pilier de pierre afin de le transformer en sculpture. Ils étaient désormais totalement loyaux envers Beacrox et Cale.
Les cinq bandits qui étaient devenus les cinq premiers membres du personnel de l’auberge < Auberge de l’Espoir et de l’Aventure > seraient désormais des membres du personnel responsables et respectueux de la loi.

Cale laissa le travail à l’équipe et s’attela à ses propres tâches.

* * *

Cale regardait du haut d’un bâtiment qui lui permettait de voir l’ensemble de la ville de Leeb-An.

« La guilde des mercenaires et la guilde des marchands sont les deux guildes les plus influentes de la ville Leeb-An ?
– C’est ce qu’on dit, monsieur ! »

Le chef des bandits répondit avec énergie.

« Il suffirait de dire que la ville Leeb-An est contrôlée par la guilde des mercenaires et la guilde des marchands le jour, et par le monde souterrain la nuit. »

Il répondait avec autant d’informations que possible tout en jetant un coup d’œil autour de lui.
Ils étaient au sommet d’un grand toit. Il ne comprenait pas pourquoi ils discutaient ici, cependant, il se contenta d’observer silencieusement Cale et les deux Chats qui mangeaient de la malbouffe, le vieil homme qui s’avérait être la personne la plus effrayante du groupe, ainsi que l’homme aux cheveux d’or blanc qui avait gagné le respect de Cale.

Le chef des bandits décida de ne pas y penser et se contenta d’expliquer tout ce qu’il savait.

« Après avoir regardé l’histoire de la ville Leeb-An, il est logique que les mercenaires et les marchands aient beaucoup de pouvoir dans cette ville.
– L’histoire ?
– Oui, monsieur. »

Le chef des bandits toussota après avoir vu le regard de Cale qui semblait lui dire de s’expliquer, puis il continua à parler.

« On dit que cet endroit était rempli de monstres dans le passé. Les monstres rôdaient dans la ville de Leeb-An ainsi que dans la région environnante, y compris le mont Leeb. »

Le regard de Cale se dirigea vers Eruhaben. Ce dernier était déjà en train de prêter attention au chef des bandits.

Les monstres.
C’est à cause d’eux que le pilier de pierre avait été placé ici.

« C’est pourquoi aucun royaume ni aucun noble n’a pu s’étendre dans cette région.
– Les mercenaires se sont donc rassemblés ici. »

Le chef des bandits hocha la tête à la remarque de Cale.

« Oui, monsieur. Les marchands ont rapidement suivi après avoir remarqué la présence des mercenaires. Les aventuriers firent de même. Très vite, cette ville libre s’est développée. Les monstres ont ensuite lentement diminué.
– …Le nombre de monstres a diminué ?
– Oui, monsieur. C’est pourquoi les autres royaumes ont essayé de prendre le contrôle de la ville de Leeb-An qui est devenue une ville libre, mais les mercenaires et les marchands avaient déjà acquis beaucoup de pouvoir avant cela. De plus, bien que le nombre de monstres ait diminué, il y en avait encore assez pour effrayer les gens et faire en sorte que la ville reste libre. »

Le nombre de monstres avait diminué.
Le regard de Cale se dirigea vers Ron.

« Je savais que Leeb-An était une ville libre, mais je ne connaissais pas cette histoire. »

Ron était originaire de la région Est.
Il n’avait pas besoin de connaître les détails d’une petite ville libre dans la région nord-ouest du continent oriental.

– Humain, humain ! Pourquoi penses-tu que le nombre de monstres a diminué ? Je suis curieux !

C’est vrai ?

Cale était curieux de savoir comment les monstres de la ville Leeb-An qui avaient besoin du Super rocher pour créer le pilier de pierre à défendre avaient disparu.
Eruhaben semblait avoir la même idée.

Cependant, Cale avait une autre idée en tête au même moment.

« Et le maire ? »

Le maire.
Il devait y avoir un personnage public qui s’occuperait de la ville libre.

« Ah, le poste de maire est transmis entre la guilde des marchands et la guilde des mercenaires à chaque élection.
– C’est bien ça ?
– Oui, monsieur. C’est pourquoi les gens qui ne font partie d’aucun des deux groupes se plaignent beaucoup. Mais que peuvent-ils faire ? Les salauds de la pègre sont déjà de mèche avec la guilde des marchands et la guilde des mercenaires. Il n’y a aucune chance que le citoyen moyen puisse gagner contre eux.
– …Vraiment ? Les autres n’ont pas leur mot à dire ? »

Le chef des bandits s’arrêta de parler.
C’était parce qu’il avait vu le sourire sur le visage de Cale.

Le chef des bandits, plein d’esprit, sentit des frissons dans son dos et commença à parler presque par réflexe.

« …Le maire n’a jamais été quelqu’un d’ordinaire ! C’est parce qu’aucune crevette ne peut gagner dans une bataille de baleines !
– Eh bien, une crevette ordinaire ne pourra pas gagner. »

Le chef des bandits et Cale se regardent dans les yeux.

« Mais il se peut qu’une crevette finisse par gagner. N’est-ce pas, Ron ?
– …Jeune maître-nim, je ne souhaite pas être une crevette.
– Hmm, Beacrox est vraiment doué en cuisine. »

Ron observa son jeune maître-nim qui souriait tout en évitant son regard. Il était certain que Cale était en train d’échafauder un autre plan dans son esprit.
Tout le monde était légèrement inquiet car Cale avait tendance à faire les choses à grande échelle chaque fois qu’il faisait quelque chose.

Cependant, Cale n’en savait rien car il réfléchissait à toutes sortes de choses avant de poser une question au chef des bandits.

« La guilde des mercenaires et la guilde des marchands ont-elles des liens avec le monde souterrain ?
– C’est en partie pour cela que la ville Leeb-An est appelée la ville du plaisir et de l’anarchie. Ils travaillent ensemble assez fréquemment.
– Alors qui sont les plus puissants dans le monde souterrain ?
– Mm, deux organisations sont puissantes dans la ville Leeb-An. »

Le chef des bandits sortit une carte de sa poche et la tendit à Cale. Cale l’ouvrit immédiatement.
Il s’agissait d’une carte centrée sur l’est de la ville Leeb-An, divisée en plusieurs parties.

« D’un côté se trouve une organisation qui contrôle la ville Leeb-An depuis sa fondation. C’est une organisation dirigée par un certain Mostue, et ils sont assez proches de la Guilde des Mercenaires.
– Et l’autre est Arm ?
– Oui, monsieur. C’est l’autre organisation. Ils ont de mauvaises relations avec la Guilde des Mercenaires.
– Et la guilde des marchands ?
– Ils restent toujours neutres. »

Cale regarda la carte du monde souterrain de la ville Leeb-An.
Bien que la carte soit divisée, il y avait de nombreux endroits sur la carte qui étaient marqués par des cercles également.

« Quels sont ces cercles ?
– Les petites organisations qui existent encore.
– …Vraiment ? »

Le chef des bandits tressaillit après avoir vu un sourire mauvais sur le visage de Cale.

« Ce, humm, le vieil homme à qui je vends mes marchandises dirige sa propre région indépendante. Cette carte est quelque chose que j’ai reçu de ce vieil homme dans le passé.
– Dans le passé ?
– Oui, monsieur. Il y a environ 6 mois. L’influence d’Arm est un peu plus forte maintenant. »

Tap, tap.
Cale tapota la carte avec son doigt.

« Tu as besoin d’une base solide pour contrôler le monde souterrain. N’est-ce pas, ancien chef de bandits ?
– C’est exact.
– Hypothétiquement parlant… »

Le regard de Cale se dirigea vers Ron.

« Qu’arriverait-il à la ville Leeb-An si Arm prenait le contrôle du monde souterrain de la ville ?
– Ils deviendraient ses subordonnés. La guilde des marchands et la guilde des mercenaires aussi. »

Cale regarda la carte et commença à réfléchir.
Quelques mots sortirent de sa bouche.

« …Maire… Mercenaires… Marchand… Mostue… Les maires des autres villes…… »

Eruhaben secoua la tête après avoir entendu Cale prononcer deux fois le mot “maire”. Cet humain malchanceux était encore en train de gâcher sa vie. Cependant, il semblait que cette fois-ci, ce n’était pas sa propre vie qu’il allait gâcher, mais celle de quelqu’un d’autre.
Eruhaben regarda l’expression pâle du chef des bandits, ainsi que l’expression vide sur le visage de Ron.

Cale commença à parler à ce moment-là.

« À quelle fréquence le maire change-t-il ?
– Vous voyez…
– Oui ? »

Le chef des bandits hésita après avoir vu le regard de Cale qui attendait la réponse avant de finalement répondre.

« Ce qui est drôle, c’est qu’il ne reste qu’environ trois mois avant le changement. Hahahaha !
– …Ho. »

Cale laissa échapper un souffle tandis que ses yeux se mirent à briller.
Le chef des bandits se sentit agacé par son esprit inutile et évita le regard de Cale. Bien sûr, Cale ne regardait pas le chef des bandits.

Il était en train d’échafauder des plans dans sa tête.

‘Je dois secouer Arm dans ses racines sur le continent de l’Est si je veux les attraper. Le point de départ est important. Il ne suffira pas de s’occuper d’eux uniquement sur le continent occidental.’

C’était la raison pour laquelle Cale était venu sur le continent oriental.

La ville de Leeb-An.
Cale avait beaucoup à gagner ici, car c’était une ville libre.
C’était un endroit où l’identité d’une personne n’avait pas d’importance.

Tap, tap.
Les doigts de Cale qui tapaient sur la carte commençaient à devenir plus forts. Le chef des bandits, qui observait la situation avec prudence, regarda Cale dans les yeux.

« Vas-y.
– Excusez-moi ?
– Va faire ce que tu as à faire.
– Ah, oui monsieur ! »

Le chef des bandits s’inclina dans sa tenue propre avant de descendre du toit. Ses mouvements étaient plutôt agiles pour sa grande taille.

Cale commença à parler une fois que le chef des bandits eut disparu.

« Eruhaben-nim.
– Il semblerait que je doive en apprendre plus sur l’histoire de la ville Leeb-An. »

Cale regarda Eruhaben qui savait ce qu’il avait à faire sans que Cale n’ait besoin de dire quoi que ce soit.

« Comment pouvez-vous en savoir plus sur l’histoire de la ville ? Vous aurez besoin d’informations assez anciennes si vous voulez connaître l’histoire à partir de l’époque du Super Rocher. »

Il n’était pas facile d’obtenir de l’histoire ancienne où que ce soit.
C’était d’autant plus vrai qu’il ne s’agissait pas d’histoire écrite, mais de vérité.
Cale vit Eruhaben répondre avec désinvolture.

« J’ai juste besoin de demander à un Dragon.
– …Excusez-moi ? »

Quoi ? Un dragon ?
Une existence se révéla dans l’air tandis que Cale était choqué.

« Gold ! Il y a d’autres Dragons ?
– Pourquoi poses-tu une question aussi évidente ? Petit, il y a 10 Dragons sur le continent de l’Est.
– Wow ! Je veux rencontrer les autres Dragons !
– Non. »

Eruhaben parla sévèrement en disant cela.

« Ce bâtard est fou. »

‘…S’il est fou selon les critères des Dragons…’
Cale ne le dit pas à voix haute.

« Alors Gold, comment le connais-tu ? Tu as une très bonne personnalité ! »

Les coins des lèvres d’Eruhaben tressaillirent à la question de Raon, cependant, le Dragon d’Or laissa échapper une fausse toux sans sourire.

« Ahem, parce que j’ai une bonne personnalité. »

Eruhaben commença à froncer les sourcils comme s’il pensait à ce Dragon et continua à parler.

« Je l’ai protégé lorsqu’il a traversé sa première phase de croissance.
– …Protégé ?
– Gold, pourquoi dois-tu les protéger lorsqu’ils grandissent ? »

L’expression d’Eruhaben devint étrange à la question de Cale et Raon.

« … Ne t’ai-je pas dit que j’avais l’intention de faire passer cet enfant par sa première phase de croissance dans mon repaire ?
– Je crois que oui ? »

Cale se souvenait de l’époque où Eruhaben avait enseigné à Raon de nombreuses choses.

« C’était pour que je puisse le protéger. Mon antre est l’endroit le plus sûr. Comme vous le savez tous, les Dragons passent par trois phases de croissance au total. »

La plaque du corps grandit lors de la première phase de croissance. L’apparence physique ne change pas, car elle ne fait que créer les bases de la croissance future du dragon.
Le dragon grandit ensuite de manière significative au cours des deuxième et troisième phases de croissance et devient également plus fort.

« À chaque fois, il y a des problèmes de croissance. Tous les dragons ne sont pas identiques. Il y a des classements dans le niveau de force d’un Dragon, et les Dragons qui deviendront plus forts seront ceux qui souffriront le plus. »

‘Je ne savais pas.’
Cale n’était pas au courant.
Tout ce qu’il savait, c’est que les dragons passaient par trois phases de croissance. Le roman ne parlait pas de la croissance d’un dragon.
Cependant, cela semblait presque évident une fois qu’il y avait réfléchi.
Il serait étrange qu’ils ne réagissent pas à une croissance soudaine et explosive.

« Je pensais que tu le savais, mais ce n’est pas le cas.
– Je ne le savais pas. Je suis grand et puissant, mais je ne le savais pas ! Mais ce n’est pas grave, je l’ai appris maintenant !
– Le petit est devenu bizarre. »

Eruhaben tapota la tête ronde du Dragon Noir tout en continuant à parler.

« C’est pourquoi les jeunes Dragons souffrent beaucoup lorsqu’ils traversent seuls leurs premières phases de croissance, mais il semblerait que tu n’aies pas à souffrir.
– Même moi, je le sais ! Je ne suis pas inquiet ! »

Les épaules de Raon se soulèvent et s’abaissent tandis qu’il jettait un coup d’œil furtif sur le reste du groupe. Bien sûr, Eruhaben le remarqua et se mit à sourire.
Ce petit dragon avait bien grandi. Et il avait bien grandi.

Même s’il n’était pas comme un dragon, il avait grandi comme un dragon.

Eruhaben regarda le Dragon noir dans les yeux.

« Tu devras naturellement être là aussi, Gold ! »

L’ancien dragon laissa échapper un rire.
Il trouvait mignon que le petit garçon fasse semblant de ne pas savoir qu’il ne lui restait plus beaucoup de temps. Eruhaben tapota un peu plus fort la tête du Dragon Noir.

« Petit, je suis très occupé. »

Il s’attendait à ce que Raon ronchonne comme d’habitude en disant cela. En fait, Eruhaben attendait avec impatience la réaction habituelle du petit.
Cependant, l’expression de Raon devint étrange.

« …Humain !
– …Pourquoi m’appelles-tu d’une manière aussi inquiétante ? »

Cale, qui était assis au bord du toit et regardait Raon, avait une expression étrange sur son visage.
Son visage se transforma rapidement en un froncement de sourcils lorsque son regard se dirigea vers la patte avant potelée de Raon. Un appareil de communication vidéo apparut dans la patte de Raon.

Beeeeeep- Beeeeeep-

C’était un appel d’urgence.

« Humain ! C’est un appel du bâtard un peu fou ! »

Celui qui appelait était le Chevalier Gardien un peu fou, Clopeh Sekka.
Cale n’avait aucune idée de ce que ce bâtard avait à dire.

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