Rebirth Of The Apocalypse Queen: On Your Knees, Young Emperor! Chapitre 228

Attaque nocturne

Chapitre 228 : Attaque nocturne

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Auteur : The Glass Pearl
Traductrice : Moonkissed

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Lin Ming, qui était également Qin Hanyu, vit cette paire familière d’yeux de phénix et devint immédiatement doux. Cela lui fit penser à sa sœur qu’il n’avait pas vue depuis très longtemps. Qui savait s’il lui manquait ?

Il tapota l’épaule de Qin Hanyu et appela : « Grand frère. »

Lin Hai accepta immédiatement. Ce n’était qu’une fille et il était extrêmement rare que son jeune frère Ming tombe amoureux de quelqu’un.

Lin Hai regarda Chuchu en s’excusant et agita la main d’un air fatigué. « Oublie ça, oublie ça. Je laisserai tomber cette fois-ci, mais petit frère Ming, tu ferais mieux de prendre soin d’elle après cela. Certaines personnes ne peuvent pas être touchées. »

Qin Hanyu esquissa un léger sourire. « J’ai compris, grand frère. »

Qin Hanyu entraîna Qin Yi. En partant, Qin Yi haussa intentionnellement les sourcils en direction de Chuchu et sentit la haine débordante dans les yeux de Chuchu. Qin Yi fit un sourire narquois.

Ensuite, elle partit avec Qin Hanyu en toute confiance.

Dehors, Wei Liao faisait les cent pas, anxieux. Lorsqu’il vit Qin Yi et Qin Hanyu, il eut l’impression qu’un énorme rocher s’était enfin détaché de son cœur. Il craignait que Qin Yi ne tombe entre les mains de Chuchu. Après tout, cette femme…

Wei Liao les accueillit et examina Qin Yi une fois. Voyant qu’elle n’était pas blessée, il se tapota la poitrine avec aisance. « Jiaojiao, je suis content que tu ailles bien. »

Qin Hanyu jeta un coup d’œil à la jeune fille et fronça les sourcils. « Tu ferais mieux de faire attention la prochaine fois. Il y a des gens qu’on ne peut pas toucher. Si tu veux continuer à survivre, tu ferais mieux de connaître ta place. »

Qin Hanyu termina sa phrase et sans attendre sa réponse, il se retourna et partit.

Qin Yi garda la tête baissée tandis que Wei Liao se frottait les mains avec inquiétude. Il pensait que la jeune fille était blessée par les paroles de Qin Hanyu et la consola maladroitement. « Jiaojiao, ne t’énerve pas. Le grand frère Ming est comme ça. »

Wei Liao ne vit pas l’éclair de lumière qui passa devant les yeux de Qin Yi tandis que sa bouche se retroussa. Heh, on ne peut pas toucher ? Alors, elle, Qin Yi, voudrait certainement y toucher.

La nuit tomba, Qin Yi s’allongea sur son lit et écouta les faibles bruits de l’extérieur. Ses lèvres se soulevèrent légèrement tandis que ses yeux de phénix brillants commencèrent à s’illuminer.

Il était temps.

Un léger parfum, à la fois doux et fatal, flottait dans l’air.

Grincement. La porte s’ouvrit et deux silhouettes entrèrent furtivement.

La jeune fille sur le lit dormait doucement, son beau visage reflétant un calme serein. Sa beauté pouvait tuer.

Chuchu plissa ses yeux de phénix rouge et serra les poings en regardant les traits parfaits et délicats de Qin Yi. Ses lèvres tendres n’étaient plus aussi pâles qu’au premier jour. « Elle est vraiment belle. Wang Yan, dis-moi. Est-elle plus belle ou suis-je plus belle ? »

Wang Yan jeta un coup d’œil à Qin Yi. Il faut dire que la jeune fille avait l’air d’être la préférée de Dieu. Elle était parfaite. Une peau blanche comme la neige, des traits délicats et un teint absolument parfait. Elle n’était pas quelqu’un que l’on pouvait observer de trop près.

On aurait dit qu’elle était la candidate parfaite pour être décrite comme belle. Elle était adorable et élégante.

« Naturellement, ma dame est la plus belle. » Wang Yan n’osait évidemment pas dire la vérité. Les femmes se souciaient avant tout de leur apparence.

« Heh. » Chuchu gloussa. Qui savait si elle croyait Wang Yan ou non ? Elle s’approcha de Qin Yi et plaça ses mains glacées sur le visage de Qin Yi.

« Ma dame, nous devrions faire vite. Après tout, c’est le territoire de Lin Ming. Ses capacités ne doivent pas être sous-estimées. Si nous sommes découverts, ce ne sera pas bon », conseilla Wang Yan.

Chuchu retira sa main et fronça les sourcils. Elle répondit avec mécontentement, « De quoi as-tu peur ? Je ne crois pas qu’il ose vraiment s’opposer à moi pour cette femme. »

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